ÉCRITURE, CANON ET AUTORITÉ: LE RAPPORT

Canon:  ce petit mot qui vient du grec kanôn revêt une importance centrale pour la foi chrétienne depuis ses origines.  Il mérite donc d’être expliqué pour quiconque s’intéresse à l’expression de cette foi prise dans son contexte historique.  Comme le titre de cette rubrique l’indique, il s’agira ici de préciser le rapport liant les Écritures sacrées chrétiennes, la notion de Canon et l’autorité qui lui est attachée, et non d’établir l’historique de la constitution du canon de l’Ancien et du Nouveau Testament à travers toutes ses phases chronologiques, ce qui nécessiterait des développements bien plus étendus.

Le mot canon vient de l’hébreu qanê, étant tiré d’une racine sémitique qu’on retrouve dans la langue assyrienne (qanû) voire ougaritique (qn). Il signifie roseau et servait dans l’Antiquité  d’instrument de mesure, d’étalon en quelque sorte.  Le mot canon apparaît dans le Nouveau Testament avec la signification de mesure, d’étalon à la fin de la lettre de l’apôtre Paul aux églises de Galatie (6:16). Contre les faux enseignements concernant l’obligation imposée aux chrétiens d’origine païenne de se faire circoncire, Paul appelle une bénédiction sur tous eux qui suivront la règle, le canon suivant: Ce qui compte ce n’est ni la circoncision ni l’incirconcision, c’est d’être une nouvelle créature : Sur tous ceux qui suivront cette règle-canon, paix et miséricorde, ainsi que sur l’Israël de Dieu.  Paul l’utilise aussi trois fois toujours au sens de mesure au chapitre 10 de sa seconde lettre aux chrétiens de Corinthe, pour indiquer ce qui relève d’une juste mesure, donnée par Dieu, à l’opposé de ce qui pourrait apparaître comme dé-mesuré chez ceux qui voulaient glorifier leur propre ministère au service de l’Évangile en amoindrissant celui de Paul.

Lorsqu’on parle du canon de la Bible dans la tradition protestante (celle à laquelle on se réfère ici), on a généralement en vue les 66 livres considérés comme étant inspirés par le Saint Esprit de Dieu pour servir de mesure à la foi chrétienne. Ceci exclut donc les livres dit apocryphes ou deutérocanoniques qui ne faisaient pas partie du canon des Écritures sacrées reconnues comme telles par les autorités juives du temps de Jésus-Christ même s’ils avaient été intégrés dans la traduction grecque dite des Septante et pouvaient jouir d’une certaine réputation, étant lus ou cités à l’occasion.  Toutes les confessions de foi rédigées au temps de la Réforme du seizième siècle comprennent un article qui énumère ces 66 livres formant l’Ancien et le Nouveau Testaments.  L’utilisation du mot canon dans ce sens-là est cependant beaucoup plus ancienne et date du quatrième siècle de notre ère. On le trouve par exemple dans la lettre pascale de l’évêque Athanase envoyée aux églises en l’an 367 pour indiquer quels sont les livres qui ont été reçus et progressivement acceptés comme ayant autorité dans l’Église, étant distingués d’autres livres qui eux ne peuvent prétendre à la même autorité. Il faut souligner à ce propos qu’Athanase ne suggère pas ou n’impose pas cette liste, il ne fait qu’en confirmer le statut canonique reconnu par les églises.

On peut cependant dire avec certitude que l’idée de canon comme mesure et autorité était connue dans la religion juive bien avant la formation du Nouveau Testament, même si le mot lui-même n’était pas encore utilisé.  Les cinq premiers livres de l’Ancien Testament, alors connus sous le nom de Torah, ont d’abord été considérés comme canoniques, avant que ne s’y ajoutent les livres prophétiques (nebiim, collection comprenant notamment les « premiers prophètes », c’est-à-dire Josué, Juges, Samuel et Rois, ces deux derniers combinant respectivement ce qui fait l’objet de deux livres successifs); et les livres historiques (ketubiim).  Ainsi, dans les synagogues qui ont fleuri un peu partout autour du bassin méditerranéen après l’exil des juifs à Babylone, certains livres ne pouvaient pas être lus dans les services religieux, et étaient appelés “les livres d’en-dehors” (separîm hîsonîm).  Ils n’étaient pas considérés comme canoniques, comme inspirés divinement; ils étaient donc impropres pour l’usage cultuel.  Lorsque, dans les évangiles, Jésus emploie le mot les Écritures (en grec: ta grammata, au pluriel neutre) il se réfère aux écrits sacrés reconnus par les juifs comme inspirés de Dieu, et donc revêtus d’une autorité divine.  Il en est ainsi en Matthieu 21:42, lorsqu’il cite le psaume 118:22 et Ésaïe 28:16, appliquant implicitement ces textes à sa personne: N’avez-vous jamais lu dans les Écritures…  De même lorsqu’un peu plus loin dans ce même évangile (23:34-36), Jésus prophétise sur les pharisiens en déclarant qu’ils crucifieront les uns et feront fouetter les autres en les persécutant de ville en ville afin que retombe sur eux le sang versé, il donne comme premier exemple de martyre de la foi Abel, dont le meurtre par son frère Caïn est rapporté en Genèse 4 (au tout début du Pentateuque donc); puis celui d’un prophète portant le nom de Zacharie, fils de Bérékia (autre que le Zacharie auteur du livre prophétique du même nom),  dont le meurtre est rapporté à la fin du second livre des Chroniques (24:20-22).  Ces deux exemples ne sont pas pris de manière fortuite, car ils indiquent tout l’ambitus des grammata.  En effet, dans le canon juif, le livre des Chroniques (qui comprenait les deux livres des Chroniques telles qu’on les trouve dans les bibles actuelles) apparaît tout à la fin, en tant que onzième et dernier livre des ketubiim.

Le mot canon exprime l’unité de la Révélation spéciale de Dieu telle qu’elle est exposée dans l’Écriture Sainte dans toutes ses parties.  Ce mot exprime donc bien deux principes chers à la Réforme du seizième siècle: premièrement cette Écriture est unie par-dessus toutes les différences qu’on peut voir dans ses diverses parties; deuxièmement toute l’Écriture est inspirée, et non quelques-unes de ses parties seulement.  C’est en ce sens seulement que la Réforme a aussi mis en avant le motif: Par l’Écriture seulement, c’est-à-dire que ce que nous devons connaître de Dieu et de nous-mêmes pour notre salut ne peut être connu que par l’Écriture.  Cela signifie que la doctrine chrétienne formulée par l’Église au cours de son histoire (par exemple sur la Trinité) doit reposer sur les données de l’Écriture, qu’elle prend en compte dans le respect des textes et de leur portée.

En effet, s’il n’existe aucune unité de but et aucun fil conducteur dans l’Écriture, on ne peut tout simplement pas parler de Révélation divine.  Nous n’avons affaire qu’à des morceaux divers écrits par des êtres humains du passé, et qui reflètent leurs émotions ou leurs spéculations religieuses.  Si tel est le cas, alors chaque lecteur peut reconstruire à sa manière ces émotions ou ces spéculations en leur accordant l’autorité et la valeur qu’il ou elle décidera, établissant son propre canon.  Dans ce cas la Bible n’est pas différente de n’importe quelle autre littérature religieuse et elle ne peut prétendre à une quelconque autorité universelle.

Mais le mot canon exprime justement quelque chose de plus qu’une liste de livres reçus comme divinement inspirés par la communauté des croyants: l’unité de contenu de la Révélation divine a pour parallèle son autorité dans  la vie de chaque croyant pour tout ce qui concerne sa foi en Dieu et sa relation avec lui.  Comme c’était le cas pour les juifs de l’Ancien Testament, canon et obéissance vont de pair.  C’est d’ailleurs bien dans ce sens que le mot canon est utilisé à la fin de la lettre de Paul aux églises de Galatie (6:16).

La notion de canon est cependant attaquée de toutes parts, hier comme aujourd’hui.  Le canon est remis en question de plusieurs manières.  Énumérons les principales attaques qui se manifestent à son encontre:

  • Lorsque des hommes ou des femmes prétendent recevoir toutes sortes de nouvelles révélations (par des visions, des signes spéciaux etc.) et les considèrent comme étant une révélation divine supérieure à celle du canon de l’Écriture, quand ils leur accordent une autorité supérieure dans leur vie, leurs choix et leurs actions, nous avons affaire à un nouveau canon, une nouvelle règle de vie qui doit suppléer à l’Écriture voire la remplacer. Dans un tel cas, on ne peut pas dire “par l’Écriture seulement”, comme l’a fait la Réforme du seizième siècle. Certains arguent de la conformité avec l’Écriture des visions qu’ils disent avoir reçues.  Mais comme l’écrivait en substance le théologien anglais John Owen: Si une vision reçue est conforme à ce qu’enseigne l’Écriture, elle n’y apporte rien de plus et n’a donc pas à la remplacer, on peut parfaitement s’en passer.  Si en revanche elle est contraire à ce qu’enseigne l’Écriture, elle n’a tout simplement pas à être reçue dans l’Église. 
  • Lorsque toutes sortes de traditions humaines détiennent l’autorité finale en matière de foi et de vie chez les croyants et dans l’Église, et qu’on ne peut les évaluer ou les valider à la lumière de l’Écriture Sainte, alors on a également affaire à un nouveau canon. Toutes sortes de raisonnements dialectiques sont invoqués pour introduire ce que l’Écriture n’enseigne pas explicitement ou implicitement.  Un passage de l’Évangile selon Matthieu (15:2-9) nous présente un tel cas, lorsque des spécialistes de la Loi de l’Ancien Testament sont venus trouver Jésus.  Ils lui ont demandé: Pourquoi tes disciples ne respectent-ils pas la tradition des ancêtres?  Car ils ne se lavent pas les mains selon le rite usuel avant chaque repas – Et vous, a répliqué Jésus, pourquoi désobéissez-vous à l’ordre de Dieu lui-même pour suivre votre tradition?  En effet, Dieu a dit: ‘Honore ton père et ta mère’, et aussi ‘Que celui qui maudit son père ou sa mère soit puni de mort.”  Mais vous, qu’enseignez-vous?  Qu’il suffit de dire à son père ou à sa mère: “Je fais offrande à Dieu d’une part de mes biens avec laquelle j’aurais pu t’assister”, pour ne plus rien devoir à son père ou à sa mère.  Ainsi vous annulez la Parole de Dieu et vous la remplacez par votre tradition.
  • Une autre manière de former un nouveau canon intervient lorsqu’on prétend que la Révélation de Dieu se trouve dans certaines parties de l’Écriture, mais pas dans toutes: chacun choisit opportunément ce qui lui convient, et rejette la partie du message biblique qu’il n’aime pas, en fonction de ses préférences, de sa culture, de ses choix politiques, idéologiques voire religieux, par exemple afin de justifier ses propres a priori sur Dieu et ne pas faire face à ce qu’Il révèle sur Lui-même. Il existe aussi des manières subtiles et tordues de déformer les paroles de l’Écriture, par le biais de traductions faussées qui ne sont que l’œuvre de faussaires.  On introduira ici ou là dans le texte des virgules « bien » placées pour en briser l’unité de sens, là où il est pourtant tout à fait clair. Cette remarque ne veut bien entendu pas dire qu’il ne puisse pas exister plusieurs traductions possibles pour une même phrase hébraïque, araméenne ou grecque, mais que le contenu sémantique de passages clés pour la compréhension du message chrétien, est parfois sciemment déformé en dépit de sa clarté.  Ainsi, afin de nier la pleine et entière divinité de Jésus-Christ affirmée à travers le Nouveau Testament, la confession de foi sans équivoque de l’apôtre Thomas devant le Christ ressuscité dont il vient de voir et de toucher les marques : Mon Seigneur et mon Dieu ! sera présentée par les Témoins de Jéhovah comme si Thomas s’adresse à Jésus lorsqu’il l’appelle mon Seigneur, puis se met à genou ou se tourne d’un autre côté (vers le Père) pour s’écrier: et mon Dieu…  Une telle contorsion mentale est effectuée en dépit de la réponse de Jésus qui valide et avalise sa confession de foi : Parce que tu m’as vu, tu as cru (c’est-à-dire en me confessant comme ton Seigneur et ton Dieu).  Des exemples tels que celui-ci pourraient hélas être multipliés. Citons encore, dans la même veine, Jean 1:1  …et la Parole était Dieu, qui ne peut être traduit autrement, à moins de violer sciemment la construction grammaticale du grec quant à l’attribut du sujet sans article. Ce qui donne, erronément:”… et la parole était un dieu. Celui-ci était  était au commencement avec Dieu”.  Ce tour de passe passe permet ensuite de renverser l’ordre de la phrase suivante, en appliquant à “un dieu” le pronom démonstratif outos, qui se réfère pourtant sans équivoque à la Parole-logos, dernier mot de la phrase précédente. Par ricochet, le sens du verset 3 en est lui aussi déformé, puisque la Parole-logos a été subtilisée. Il en va de même avec la doxologie affirmant la divinité du Christ en Romains 9:5.  Ces méthodes de faussaires détournent de la compréhension de la foi de très nombreuses personnes qui ne lisent pas les langues originales et croient de « bonne foi » (si l’on peut dire…) ce qui leur est enseigné, prenant pour argent comptant ces traductions/trahisons.
  • Lorsqu’on dit que l’Écriture telle que nous la connaissons n’est pas suffisante pour révéler aux hommes le plan de Dieu et que nous devons y ajouter quelque chose de nouveau aujourd’hui pour mieux nous adresser à l’homme contemporain, on a également affaire à un nouveau canon, dicté par les circonstances du moment. On substitue à l’Écriture des sciences dites « humaines » telle que la psychologie, en remplaçant progressivement ses affirmations sur la nature humaine par les dernières théories à la mode.
  • Lorsque dans l’Église on introduit d’autres textes tardifs, comme les évangiles apocryphes écrits des dizaines d’années après les évangiles du Nouveau Testament, et qui n’offrent aucune garantie de vérité historique quant à la personne et l’oeuvre de Jésus-Christ, alors on forme un nouveau canon, engendrant ainsi sur sa personne toute une mythologie racoleuse. Une mythologie qui du reste attire beaucoup de curieux et engendre de fortes ventes en librairie voire au cinéma, pour le plus grand bénéfice d’auteurs ou de metteurs en scène à succès.

Bien sûr dans tous les cas précités, on a bien affaire à un canon dans le sens de règle ou de mesure particulière: chacun établit un canon qui lui convient.  Mais ce canon n’est plus celui de l’Écriture Sainte telle qu’elle a été reçue par l’Église universelle.  En particulier, il nous faut nous demander si le canon doit être soumis à des variations selon les époques et les cultures. Si tel était le cas, on ne pourrait plus parler de Révélation divine s’adressant à tous les hommes, quelle que soit l’époque et les circonstances dans lesquelles ils vivent.

Dans la deuxième lettre que l’apôtre Paul écrivait à Timothée, il écrivait ceci pour l’encourager à rester fidèle à l’enseignement qu’il avait reçu (3:15-16).  Ce passage est un parfait résumé de ce que signifie la notion de canon: Pour toi, reste attaché à tout ce que tu as appris et reçu avec une entière conviction.  Tu sais de qui tu l’as appris.  Depuis ton enfance, en effet, tu connais les Saintes Écritures; elles peuvent te donner la vraie sagesse, qui conduit au salut par la foi en Jésus-Christ.  Car toute l’Ecriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, réfuter, redresser et apprendre à mener une vie conforme à la volonté de Dieu.  Ainsi, l’homme de Dieu se trouve parfaitement équipé pour accomplir toute oeuvre bonne.

Quant à l’apôtre Pierre, voici ce qu’il écrit à ses lecteurs au début de sa seconde lettre, toujours sur le même sujet (1:19-21): De plus, nous avons la parole des prophètes sur laquelle nous pouvons nous appuyer fermement, et vous faites bien de lui accorder votre attention: car elle est comme une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu’à ce que le jour paraisse et que l’étoile du matin se lève pour illuminer vos coeurs.  Sachez, avant tout, qu’aucune prophétie de l’Ecriture n’est le fruit d’une initiative personnelle.  En effet, ce n’est pas par une volonté humaine qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu.

 Il est d’ailleurs frappant qu’à la fin de cette même lettre Pierre se réfère aux lettres de Paul en les mettant sur le même plan que le reste des Écritures (l’Ancien Testament) c’est-à-dire en leur accordant implicitement un statut canonique (3:15-16): Considérez que la patience de notre Seigneur est votre salut, comme notre bien-aimé frère Paul vous l’a aussi écrit selon la sagesse qui lui a été donnée.  C’est ce qu’il fait dans toutes les lettres où il parle de ces sujets, et où se trouvent des passages difficiles à comprendre, dont les personnes ignorantes et mal affermies tordent le sens, comme elles le font du reste des Écritures, pour leur propre perdition.

 Parmi les confessions de foi issues de la Réforme, celle de Westminster (1646) contient dès le début des articles assez développés sur le contenu de l’Écriture, son origine et son autorité, toutes choses qui nous ramènent précisément à la notion de Canon.  Voici, pour terminer, les articles 4 à 6 de la première section de cette confession de foi:

  1. L’autorité de l’Écriture Sainte qui doit être crue et obéie dépend, non pas du témoignage d’un homme ou d’une Église, mais entièrement de Dieu (qui est la Vérité-même); elle doit donc être reçue parce qu’elle est la Parole de Dieu.
  1. Nous pouvons être amenés et incités par le témoignage de l’Église à accorder à l’Écriture Sainte une considération profonde et pleine de respect. De plus, la nature divine du contenu, la portée pratique de la doctrine, la majesté du style, la cohérence de toutes les parties, l’objectif de l’ensemble (qui est de donner à Dieu toute gloire), la pleine révélation de l’unique chemin conduisant au salut, de nombreuses autres qualités incomparables – bref : sa perfection pleine et entière, sont autant d’éléments par lesquels la Parole de Dieu s’authentifie elle-même. Néanmoins notre conviction et notre certitude quant à l’infaillible vérité et à la divine autorité du texte ne proviennent que de l’œuvre intérieure du Saint-Esprit portant témoignage, par et avec la Parole, dans nos cœurs.
  1. Tout le Conseil de Dieu, c’est-à-dire tout ce qui est nécessaire à la gloire du Seigneur ainsi qu’au salut, à la foi et à la vie de l’homme, est expressément consigné dans l’Écriture ou doit en être déduit comme une bonne et nécessaire conséquence ; rien, en aucun temps, ne peut y être ajouté, soit par de nouvelles révélations de l’Esprit, soit par les traditions humaines. Néanmoins, nous reconnaissons que l’illumination intérieure de l’Esprit de Dieu est nécessaire pour une compréhension à salut de ce qui est révélé dans la Parole. Certains aspects du culte dû à Dieu, et du gouvernement de l’Église, communs à toutes activités et sociétés humaines, doivent être arrangés selon la lumière naturelle et la sagesse chrétienne, dans le respect des règles générales de la Parole qui doivent toujours être observées.
Eric Kayayan
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